regards en passant
Les grandes cités sont-elles universelles ?
A l’évocation de chacune une foule d’images me viennent à l’esprit. Je crois les connaître pour les avoir tant vues sans y être allé. Et pourtant, ce n’est que la peau de leur décor qui m’est familière. Ce sont de belles inconnues.
Pour les comprendre, un peu, de voyageur je dois me faire passant, ralentir mon regard, observer les détails, tenter la rencontre. Impossible de tout voir, si je cherche un peu de vérité.
A la fois dures et accueillantes, New York et Istanbul sont des métropoles extrêmes, qui exigent le témoignage.
J’ai voulu rassembler ici quelques aspects de l’envers du décor de ces villes, de ce qui les distingue ou qui les confond.
Martine Peccoux 6 novembre 2012
Belles images. Beau travail cohérent.
Plutôt que « regards en passant », je l’aurais intitulé: « regard d’un passant ».
Arnaud Bouteloup 6 novembre 2012 — Auteur d'un article
Merci pour le regard … Pourquoi « en passant » et pas « d’un passant » ? sans doute pour donner un sens équivoque : au regardeur de décider s’il veut le participe ou le substentif. Personnellement, je ressens 80% participe, 20% substentif.